Sonner le glas des régimes dictatoriaux!
Puisse le cas tunisien inspirer les dirigeants dictateurs ! C’est du moins le vœu de nouvel an que je formule à tous les peuples sevrés de liberté et qui souffrent du fait des dirigeants dictateurs et véreux.
La manifestation de Sidi Bouzid, qui a été à l’origine de la fuite de Ben Ali, est le résultat de plus de deux décennies de misère et de privation de liberté, disons de détresse sociale dont était victime le peuple tunisien. Toute la richesse du pays étant à la merci de la boulimie de la famille Ben Ali et ses affidés. Ce qu’on pourra déjà appeler la révolution tunisienne a fait des émules dans le monde arabe : l’Algérie, l’Egypte et Yémen. Effet positif en Egypte : Hosni Moubarack a démissionné après quelques jours de résistance. L’onde de choc tunisienne ne doit pas s’arrêter au monde arabe, mais doit atteindre les autres parties du globe où subsistent des régimes dictatoriaux et oppresseurs. Comme en Afrique subsaharienne où des dirigeants indélicats siphonnent leur pays et torpillent les droits des peuples.
Plus que jamais les peuples « opprimés » doivent saisir la balle au bond pour sortir de leur coquille et dire non à la misère organisée et entretenue par des dirigeants et leurs hommes liges. Il s’agira de secouer le cocotier sous la tête desdits dirigeants pour qu’ils se réveillent de leur sommeil et apporter des solutions aux aspirations profondes des populations. D’ailleurs en la matière il n’y a pas de recette miracle pour les dictateurs, il leur suffit de sortir de leur autisme pour être réceptifs aux doléances des peuples. Avec à la clé la résolution de l’équation de la répartition des richesses. Ou tout simplement céder la place !
Le gazetier
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